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Publié le dimanche 23 juin 2024 à 17:30:00
Découvrez comment vos députés votent pour la planète

Votre député a-t-il soutenu le maintien d’un objectif de 18% de surface agricole cultivée en bio ? S’est-il opposé aux polluants éternels ? Aux insecticides « tueurs d’abeilles » ? Aux nouveaux OGM ? Aux nitrites dans le jambon ? Ou encore, aux emballages alimentaires constitués de polystyrène non recyclable ?

Autant de questions dont vous pourrez trouver les réponses dans notre nouveau classement « ParlemenTerre », en cliquant ici.

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Publié le vendredi 7 juin 2024 à 19:00:00
VIVRE et Sauvons Notre Futur réclament le maintien de la déchèterie de Sablons (Isère)

Depuis la fin du mois de mai dernier, les habitants de la commune de Sablons, comme les automobilistes qui la traversent en provenance de Chanas, peuvent constater la présence d’une banderole réclamant le maintien de la déchèterie menacée de fermeture par une décision de la communauté de communes Entre Bièvre et Rhône (EBER).

Soucieuse « d’harmoniser sa politique de traitement des déchets à l’échelle du territoire » comme il est possible de le lire sur son site, EBER a en effet décidé cette fermeture, ainsi que celle du site d’Anjou tout proche, au motif que le territoire serait trop bien doté si on le compare à l’ensemble du département. Un comble !

Les Associations Vivre et Sauvons notre Futur

réclament le maintien du service public des déchèteries.

Celles et ceux, qui comme nous s’indignent de cette manière de servir l’intérêt public, sont invités à se manifester auprès de la mairie de Sablons ou auprès de la communauté de communes EBER.

Pour rappel, l’association des Coquelicots d’Anjou réclame le maintien de la déchèterie d’Anjou.

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Publié le mardi 4 juin 2024 à 18:30:00
Centrale nucléaire de Saint-Alban-du-Rhône - Avis d'incident

Publié par l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) le 29/05/2024

CENTRALE NUCLÉAIRE DE SAINT-ALBAN - Réacteurs de 1300 MWe – EDF

Non-respect d’un critère de débit de fuite du circuit primaire principal du réacteur 2 lors des opérations de redémarrage à l’issue de son arrêt programmé pour maintenance

Le 14 mai 2024, l’exploitant de la centrale nucléaire de Saint-Alban a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un évènement significatif pour la sûreté relatif au non-respect d’un critère de fuite du circuit primaire principal du réacteur 2.

Sur un réacteur à eau sous pression, le refroidissement du combustible est assuré par un circuit primaire fermé contenant de l’eau à pression et température élevées. Des fuites dites « technologiques » sont prévues par conception sur le circuit primaire, notamment au niveau des organes de robinetterie. Elles sont collectées dans des réservoirs ou via les circuits fermés connexes au circuit primaire. Les RGE définissent notamment des critères de débit de fuite du circuit primaire à ne pas dépasser.

Le 10 mai 2024, alors que le réacteur 2 était en cours de redémarrage après son arrêt programmé pour maintenance, le débit de fuite du circuit primaire principal a dépassé le critère maximal de 230 litres par heure fixé par les règles générales d’exploitation (RGE) au cours de la mise en configuration d’un circuit d’eau connexe au circuit primaire, dans la partie nucléaire de l’installation, réalisée vers minuit.

L’équipe de conduite a identifié le dépassement du critère de débit de fuite vers 8 h 15 et a engagé des investigations pour en déterminer l’origine et rétablir une situation conforme aux RGE. L’équipe de quart a finalement isolé la ligne du circuit connexe au circuit primaire, où un robinet avait été ouvert par erreur. Le débit de fuite primaire est redevenu conforme aux RGE vers 15 h.

La fuite d’eau primaire étant dirigée vers un circuit connexe, l’événement n’a pas eu de conséquence sur l’installation, le personnel ou sur l’environnement.

En raison de dépassement de l’un des critères de débit de fuite primaire définis dans les RGE, pendant une quinzaine d’heures, cet événement a été classé au niveau 1 de l’échelle INES.

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Publié le lundi 20 mai 2024 à 17:30:00
Rapport de l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) sur l'état de la sûreté nucléaire et de de la radioprotection en France en 2023

Centrale Nucléaire de Saint-Alban-du-Rhône (page 38 du rapport) :

La centrale nucléaire de Saint-Alban, exploitée par EDF dans le département de l’Isère, sur le territoire des communes de Saint-Alban-du-Rhône et de Saint-Maurice-l’Exil à 40 km au sud de Lyon, est constituée de deux REP d’une puissance de 1 300 MWe chacun, mis en service en 1986 et 1987. Le réacteur 1 constitue l’INB 119, le réacteur 2, l’INB 120.

L’ASN considère que les performances de la centrale nucléaire de Saint‑Alban en matière de sûreté nucléaire, de radioprotection et de protection de l’environnement rejoignent l’appréciation générale du parc des centrales nucléaires d’EDF.

En matière de sûreté nucléaire, l’ASN relève que les installations du site sont exploitées et maintenues de façon satisfaisante malgré un programme industriel perturbé en 2023. Le réacteur 1 a été arrêté pour sa visite partielle et son rechargement en combustible. Le planning des activités de cet arrêt a été difficilement maîtrisé et plusieurs écarts aux exigences de sûreté ont été mis en exergue à l’occasion des inspections de chantier réalisées par l’ASN. En matière d’exploitation des réacteurs, la surveillance en salle de commande et la gestion des compétences des équipes de conduite sont considérées comme satisfaisantes.

En matière de radioprotection des travailleurs, l’ASN considère que la maîtrise de l’exposition des travailleurs est satisfaisante. Cependant, au regard des événements significatifs pour la radioprotection (ESR) déclarés en 2023, l’ASN attend encore un renforcement de la culture de radioprotection et de la rigueur des activités de balisage des chantiers et de gestion des outillages et des déchets radioactifs.

En matière de protection de l’environnement, les résultats de la centrale nucléaire sont satisfaisants mais l’ASN attend un traitement plus réactif des aléas techniques impactant les dispositifs de protection de l’environnement.

En matière de santé et de sécurité au travail, l’ASN constate que le site poursuit le déploiement d’actions nationales d’EDF, notamment en matière de risques électriques et de levage.Des actions spécifiques en lien avec le risque électrique ont été mises en œuvre de manière satisfaisante sur le site. Si l’accidentologie demeure globalement maîtrisée, une vigilance particulière doit être maintenue lors des arrêts de réacteur.

Pour consulter le rapport 2023 de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) : cliquez ici.

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Publié le lundi 6 mai 2024 à 18:00:00
Photo Le DL /Georges Aubry

Photo Le DL /Georges Aubry

Ci-dessous, l’article du Dauphiné Libéré du 03/05/2024 (Georges Aubry) :

 

Agglomération Roussillonnaise

 

Site chimique : le projet Starval suspendu par la justice

 

À la suite du référé engagé par Aura environnement contre l’arrêté permettant l’exécution d’un projet de chaudière sur le site chimique, le tribunal administratif a donné raison à l’association, suspendant l’exécution de l’autorisation environnementale.

L’association Aura environnement avait saisi en référé le 25 mai dernier (initialement, l’audience était prévue le 22) le tribunal administratif de Grenoble contre le projet d’une nouvelle chaudière qui doit être implantée sur le site chimique des Roches-Condrieu. Plus exactement, l’association a attaqué l’arrêté préfectoral autorisant l’exploitation du projet, intitulé Starval.

L’association Aura environnement avait saisi en référé le 25 mai dernier (initialement, l’audience était prévue le 22) le tribunal administratif de Grenoble contre le projet d’une nouvelle chaudière qui doit être implantée sur le site chimique des Roches-Condrieu. Plus exactement, l’association a attaqué l’arrêté préfectoral autorisant l’exploitation du projet, intitulé Starval.

Initié par le groupe Novapex, ce projet s’inscrit dans la démarche de décarbonation de la plateforme chimique. Selon le groupe, son objectif est d’atteindre 73 % de consommation de chaleur d’origine renouvelable et de réduire le flux des polluants en utilisant notamment, pour faire fonctionner la chaudière, le réseau vapeur du site. Ce système limiterait aussi drastiquement l’utilisation du gaz, donc des énergies fossiles, qui ne serait plus utilisé que pour démarrer la chaudière.

Si l’association de défense de l’environnement a contesté ce projet, c’est qu’elle considère qu’in fine il procède à « la valorisation thermique des résidus de distillation de l’atelier de production de phénol, avec des caractéristiques similaires à la combustion du gaz et la propagation de poussières dangereuses ».

Aura brandit la menace d’un huissier

Président d’Aura environnement, Marc-Claude de Portebane pointait du doigt l’incidence environnementale du projet, émetteur de 30 000 tonnes de CO 2 par an, sans mesure d’évitement ou de compensation, ainsi que les risques sanitaires pour les habitants voisins du site. L’association, ainsi que des riverains qui l’ont rejointe dans cette procédure, dénonçait aussi un passage en force du préfet alors que le commissaire enquêteur avait rendu un avis négatif sur ce projet.

Au final, le tribunal a suivi l’association, rejetant les conclusions de la partie adverse en mettant en exergue la nécessité d’une étude d’impacts, un point technique correspondant à la nomenclature des installations classées, avec comme conséquence la suspension de l’exécution de l’autorisation environnementale entérinée au mois de février dernier. De fait, cela est équivalent à suspendre l’exécution du projet. Par ailleurs, l’État et Novapex devront verser une somme de 1 000 euros aux requérants. L’ordonnance de jugement sera également transmise au ministère de la Transition écologique.

L’association Aura se dit est d’autant plus « satisfait qu’il est très rare de gagner en référé ». Par ailleurs Marc-Claude de Portebane assure que l’association mandera un huissier la semaine prochaine sur le site chimique, « pour constater si les travaux ont bien été stoppés ».

De son côté, Willy Lemesle, le directeur du site roussillonnais de Novapex, souligne que le groupe « a pris acte de la décision ». « Pour le moment on regarde ce qu’il en est et on analyse la situation », mentionne-t-il.

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Presentation

  • : Sauvons Notre Futur
  • Sauvons Notre Futur
  • : Association pour la protection de l'environnement créée à Sablons (Isère) en septembre 2005. Association régie par la loi du 1er juillet 1901. N° 0383002846.
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